La Fourberie en Saint-Lunaire

Les terres des mielles du petit hameau de  la Fourberie sont achetées en 1880 par des artistes amenés par Émile Bergerat, directeur du journal « La vie moderne », mari d’Estelle et beau-frère de Judith Gautier, les filles de Théophile. Judith, elle, est installée au Pré des Oiseaux dans le tout proche Saint-énogat. Les Bergerat construisent très vite la villa Caliban, le poète Jean Richepin ker Sacha. à l’aide d’une solide documentation, Marie‑France Faudi suit l’histoire des maisons emblématiques de la Fourberie et évoque la vie de leurs propriétaires successifs.